Modus Operandi

people

building

construction

public space

space hacking

participatory building

painting

low-tech

artistic building

action research

art

public art

habitat

self-empowering

love

creation

interaction

together

We live the construction yard like life… in all its tonalities and nuances, loves and distresses.

We try out collective approaches to reality, hopping on the subtleties of the unexpected encounters and making use of the synergies of the spontaneous.

« The public is often a passive spectator that ends-up observing his own public life as exterior to the conception and fabrication of things. Most often the mechanics of the “public thing” are for him as unknown as an art-piece creation process. Again and again, this explains absolutely the unlove and the common mystification of the world he’s surrounded by: its own self-alienation. »

Against this alienation we experiment situations to harmonize the efficiency of the collective act and the effective integration of usually unsolicited people in the reflexion and action process.

We combine simple low-tech construction techniques with an intentional design showing everyone’s the easy path to quality transformation of their habitat.

We seek the collective production of an all-coherent based on each one’s – ours and the all who join us – knowledge and skills, working on more organic and convivial forms to create, live and interact.

Step-by-step we put together functioning and cooperation schemes in which we continuously seek to find everyone’s place and love.

Nous vivons le chantier comme la vie… dans toutes ses tonalités et nuances, avec ses amours et difficultés. 

Nous appliquons une approche collective à la réalité, embarquant ainsi dans la subtilité des rencontres inattendues, exploitant les synergies qui naissent de la spontanéité. 

« Le public n’est bien souvent qu’un spectateur passif, qui finit par voir sa propre vie dans l’espace public comme externe à la conception et à la fabrication des choses. La plupart du temps, les rouages de « la chose publique » lui sont tout aussi étrangers que le processus de création d’une œuvre d’art. Invariablement, ceci explique le désamour et la mystification du monde qui l’entoure : il s’agit de sa propre aliénation. »

Pour lutter contre cette aliénation, nous expérimentons des situations qui marient efficacité d’action collective et intégration effective de personnes habituellement exclues du processus de réflexion et de construction.

Nous utilisons des techniques de construction low-tech soutenues par une intention globale cohérente, afin de montrer à chacun le chemin facile vers une transformation qualitative de leur habitat. 

Nous recherchons la production collective d’un tout cohérent à partir des connaissances et capacités de chacun – les nôtres et celles de toute personne qui se joint à nous –, dans une démarche visant à explorer des façons de créer, de vivre et d’interagir qui soient plus organiques et conviviales.

Pas à pas, nous développons des modèles de fonctionnement et de coopération dans lesquels nous recherchons en permanence que chacun puisse trouver sa place, toute en restant dans l’amour.